UBER, le nom qui fait grincer les dents de tous les chauffeurs de taxi de la capitale. En effet, la start-up fondée par Travis Kalanick en 2009, ne cesse d’évoluer et de s’imposer sur le marché qui était jusque là la propriété des taxis. Plusieurs plaintes ont été déposé, mais UBER revient toujours à la charge, avec de nouveaux concepts et un marketing incisif.

Il y a un an maintenant , afin de rendre à César ce qui appartient à César (En tout cas , au moins en partie…), UBER  lance sa nouvelle application et pour rendre hommage et sans aucune provocation elle s’appelle « TAXI ». 60 Taxis conventionnels s’associent à la marque et appliqueront le tarif en vigueur établi par la préfecture.

Le Deal permet aux professionnels d’accéder à la technologie et d’utiliser le nom UBER, en échange d’un prélèvement sur les courses. Un service plus conventionnel à des prix concurrentiels qui répond mieux aux attentes des utilisateurs.

Cela aurait pu s’arrêter là, mais le géant américain, lance maintenant un service supplémentaire et pas des moindres: UberPOP, malgré un nom des plus sympathique, il y a de quoi mettre en colère une fois de plus nos « charmants » taxis. L’application UberPop est un service de « covoiturage urbain » qui permet à n’importe quel particulier de louer ses services de chauffeur occasionnellement avec son véhicule personnel.

Ce qui inquiète les professionnels, comme les VTC, les UberPOP économisent la licence taxi (250 000 euros à Paris) et aucun cadre juridique n’existe actuellement pour ce nouveau type de transport.

En proposant ces nouvelles offres, UBER, jusqu’à présent connu pour son service haut de gamme, prend un certain risque  son image.

Retrouver toutes les informations réservation sur www.uber.com